Geneviève me l’a dit. C’est «concrete». «Béton», c’est «concrete».
Ça a du sens, quand même. Montréal est trop concret. Trop réel. Trop exprimé. Trop manuel d’instruction.
Blogue de Jean-Philippe Maxime Tittley
Geneviève me l’a dit. C’est «concrete». «Béton», c’est «concrete».
Ça a du sens, quand même. Montréal est trop concret. Trop réel. Trop exprimé. Trop manuel d’instruction.