si tu vivais dans l’ancien temps
tu entrerais dans un monastère
– Guillaume Apollinaire
tu entrerais dans un monastère
– Guillaume Apollinaire
Rintintin ratisse les machines
Tchekov rue ses espoirs succincts
Sur la ribambelle des lendemains
Et penche, pence la muraille de l’usine
Rigueur éternelle foutaise malotrue
Rédemption profitable déganguée morue
Faut-il fuir, foutue finance
Des marais, cancre et nauséabondance
Les méridiens en exil n’entravent
Aucun des rieurs, beau séjour maladif
En contrée subterfuge malodieuse. Behave!
Et vente, vente l’assensceur fautif
Montons, mentons, méphistophélès est las
Là, morbide industrieux déloyal
Et, fourbu, fixant la splendeur fantassine
Rintintin ratisse les machines
Suant sur son suaire l’ancien sang
Et le monde après lui se suspend.