C’était un jour très froid
Sur les arbres de nos jours
a soufflé un vent d’effroi
Un spasme, un retour
Et la douceur de nos airs bêtes
J’ai détourné la tête,
en un frisson
Et perdu mes horizons
Blogue de Jean-Philippe Maxime Tittley
C’était un jour très froid
Sur les arbres de nos jours
a soufflé un vent d’effroi
Un spasme, un retour
Et la douceur de nos airs bêtes
J’ai détourné la tête,
en un frisson
Et perdu mes horizons